Du 4 au 10 mai, Gilles Baermann nous a présenté sa vision du confinement à Metz, au travers de vestiges de “la vie d’avant”. C’est au total 35 clichés que le photographe a réalisé durant son heure quotidienne de sortie autorisée. Il a accepté de partagé une sélection de ses photographies avec le lectorat de Metz Métropolitain, pour découvrir toutes les photographies de cette série, et bien d’autres, rendez-vous sur instagram @gillesbaermann.
Gilles, c’est le personnage sympathique, ouvert, toujours prompt à échanger. C’est aussi un œil photographique affûté, qui retranscrit les scènes du quotidien avec une esthétique mêlant sincérité et discrétion. Tantôt contemplatifs, tantôt intenses, parfois même sarcastiques, ses clichés se suffisent à eux-même pour conter une histoire.
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Le 17 mars dernier, comme dans toutes les communes de France, le temps s’est soudain suspendu. Rues, vides, magasins fermés, la ville s’est endormie. Cette sélection est assez représentative de ma série : parfois anxiogènes, nostalgiques mais parfois drôles aussi.
Gilles Baermann
Bienvenue sur Metz Métropolitain Gilles, et merci pour tes clichés dont on ne se lasse pas.